Article écrit dans le blog de Falkor le 15 Août 2012.Je suis tombé fou amoureux du transat à Môman. J’en profite un max. Tout est dans la technique, je démarre comme un fou direction le portail en aboyant, j’entends loin derrière que ça va chauffer pour mon matricule Paroles… Paroles. Le » Cav » rentre en pleine crise et maman arrive pensant que le facteur passe toutes les 5 minutes. C’est à ce moment précis qu’il faut opérer un demi-tour savant et foncer dans l’autre sens jusqu’au transat que je squatte immédiatement.
C’est un vrai boulot car tu penses bien qu’elle rapplique en prononçant des noms d’oiseaux sur ces chiens qui l’a font tourner en bourrique, qu’elle va leur faire couper les cordes vocales et tout le reste, qu’elle va les vendre au prochain vide-grenier. Paroles… Paroles. Pas près de trouver un gonze qui veuille débourser 5 euros pour 2 gueulards comme nous. De toute façon si j’en vois un mettre la main à sa poche je hurle, le « Cav » aussi est partant maintenant que les JO sont finis pépère est libre comme le vent, il erre comme un désoeuvré dans le jardin cherchant une con….ie à faire. Bingo il vient de trouver un vieux cadavre de moineau, il a du flair l’épagneul nain.
Bon le transat, je m’fais virer grave, heureusement c’est l’heure du bain j’vais pouvoir prendre mes aises.
Le « Cav » t’arrêtes de gueuler cinq minutes je ne joue plus, casses toi voir ailleurs si tu trouves mes lunettes, je pique une petite ronflette.