Article écrit dans le blog de Falkor le 09 Avril 2012.Les cloches sont de retour avec une poule qui caquette et un lapin qui glapit. Un pour le « CAV » et un pour le « NIZ », j’ai pris les deux comme ça y a pas à demander à l’un ce qu’il veut et de donner l’autre celui qui reste, c’est vachement plus vite fait, de toute façon le « CAV » il s’en fout, lui ce qui le branche c’est les oeufs au chocolat. Qu’est ce que tu veux qu’il foute avec une peluche qui en plus est trop grande pour sa mâchoire.
Donc le partage étant fait de manière équitable reste plus qu’à se faire une petite beauté car les nénettes vont arriver. Pour les bipèdes la journée va se résumer à prendre quelques kilos, comme dab il y a à manger pour une légion romaine alors qu’ils sont une poignée. Le « CAV » il est pas contre un petit morceau de gigot, attention pas touche à la souris c’est réservé, la mamie elle risque de la mettre dans son sac en arrivant de peur que quelqu’un y touche, dommage ont auraient pu faire une belle course dans le jardin après le mulot.
Les cloches sont revenues chargées de cadeaux
Bon c’est pas tout il va falloir que je planque mes nouveaux jouets parce que les pitchounettes risquent de croire que je leur est fait un p’tit cadeau. Le « CAV » est rentré dans une période de repos avant les hostilités.
Faut surtout pas que tu t’imagines que je passe ma journée sur le canapé, je descends à onze heures pour manger (c’est de plus en plus tôt, faut dire que comme nous sommes un peu chi… sur les bords, pour nous calmer cinq minutes Maman nous donne notre gamelle et ouste la porte est grande ouverte). Je descends à 17 heures pour le même motif. Ouais et entre 11 et 17 eh bien ça dépend, c’est un débat trop vaste pour cette journée de fête.
Allez peignes, brosses, costard du dimanche, les bipèdes annoncent leur arrivée imminente ce qui d’habitude se traduit par dans une heure on démarre.
J’espère qu’ils vont m’amener un p’tit jouet les pépères sinon ça risque de mal se terminer pour le panier de chocolat et le mulot de la mamie. Bon Môman faut que tu changes le machin sur le canapé il est un peu pas blanc sale si tu vois ce que je veux dire. Et voilà les mots gentils qui partent dans tous les sens, c’est de notre faute avec nos pattes qui sont passées dans la terre, qui ceci, qui cela, qu’elle en a ras le bonnet des chiens qui respectent rien, qui passent leur vie à lui apporter du travail Oula … Oula… j’suis pas arrivé tout seul ici, t’es venue me chercher t’assumes. Jamais contente la patronne.
19/01/13, 09:38 pm bulher