Dur Dur d’être un mâle de nizouille avec la cousine Givernie. C’est qu’elle a pris des forces en grandissant la bougresse vendéenne. Elle doit être nourrie à la brioche.

Le « CAV » trace la route avant de se retrouver pris en sandwich (veut bien en déguster un, mais pas question de prendre la place du jambon). Faut sortir la grande classe, une esquive à gauche, un coup de patte à droite et voilà comment tu te retrouves les quatre fers en l’air, une p’tite roulade à gauche, une oreille te tombe dans la bouche, j’adore tu t’accroches, ça couine un peu, chez les maîtres aussi. Que du bonheur.

Faudrait juste un peu d’entraînement, si le « CAV » voulait se secouer un peu je pourrais me faire une condition d’enfer pour battre la miss, mais le british a décidé de faire sa petite vie tranquille de bon vieux pépère, les vieux pépères c’est nous les petits jeunots, une minute d’agitation extrême et ensuite deux carpettes essoufflées.